REPONSE AIMABLE A BOÏOS

 

« Quand on entend ce qu'on entend et qu'on voit ce qu'on voit, on a bien raison de penser c'qu'on pense ! »

               (Pierre Dac -  proverbe Suisse –  F. Raynaud  et les autres...).

 

Et l'on pourrait ajouter BOÏOS pour le dernier article ''Un peu d'air frais'' paru dans son récent bulletin. Bravo ! C'est certainement le plus, sinon le seul, ou, pour ne pas être méchant, un des rares écrits objectifs sur les blogs et bulletins d'opposition depuis le changement de mandature. Voyons ce qu'il est dit au sujet, non des affaires de Biganos (!) mais de la nomination du présidentiable PS : « Tous s'affirmèrent prêts à se retrouver ensemble. ».Certes ! seulement  vu les dernières péripéties, on pourrait se ronger les ongles … Enfin l'espoir fait vivre et il est vrai ''qu'on a besoin de rêver « F. Hollande ». Souhaitons donc qu'il donne des jambes et tende les rênes, comme on disait chez les hussards (à cheval) au moment de la bataille.

 

Passons à Pontnau (ou Pont-Neau?)

« L'état de délabrement du moulin ...à la date du 11 novembre 2011) »

L'extrait sur l'historique du moulin est culturellement et pédagogiquement bien venu pour tous les boïens : les jeunes, les nouveaux, les de souche et même les autres, enfin pour tous ceux qui liront l'article.

Mais, sans surprise, un bémol : les photos qui accompagnent le sujet voudraient-elles opérer un lien  improbable entre les ravages guerriers au 11 novembre 1918 et ceux de l'âge au 11 novembre 2011 ! Et puis le mot '' délabrement '' insinue-t-il le manque d'intérêt de la Mairie pour son patrimoine culturel ?

Mais Biganos n'est pas l'état français, les ruines de Pont-Neau ne sont pas classées au titre des dommages de guerre, seuls le temps et l'abandon ont fait leur œuvre. Tout de même, rassurez-vous, Elles seront réhabilitées et déplacées un peu plus loin. Les travaux doivent commencer courant janvier prochain, seulement cela coûte cher et vu la contexte actuel il faut y aller délicatement … D'ailleurs c'est bien vous qui disiez que parfois il faut surseoir à certains projets de campagne en raison de la situation financière … Et il y a  aussi d'autres impératifs : le social, les logements, l'accueil de la petite enfance (vous lirez prochainement une chronique à ce sujet).

Allez, courage, avec ou sans moulin, il y aura toujours du grain à moudre !

 

D.Bac. -  11-12-2011



10/12/2011
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