LES GROS SABOTS



Remise sur les rails de deux articles des accros de la désinformation.

 

Il en est  chez nous qui se plaisent à exhumer de vieilles fourches brandies, qui rêvent d'accrocher aux lanternes de la commune, faute d'argent pour y mettre des fleurs, quelques têtes notoires ; à s'endormir sur le fantasme d'une belle veuve au pied de laquelle viendraient tricoter la Liberté, l'Egalité et la Fraternité mais qui, faute de souffle, se contentent de faire au ras des pâquerettes. Cette fois-ci, l'attaque se porte sur le pastiche d' une célèbre phrase royale reprise par la sortie maladroite d'un élu, peut être fatigué des attaques tendancieuses  et récurrentes  de ces éternels mécontents. (La phrase, la voici : La loi, c'est moi!)...

Et de persister et confondre fastes royaux et obligations d'emploi du temps du Maire, qualifié de mégalomane, s'offrant chauffeur et gaspillant ainsi les impôts de ses administrés d'une manière antidémocratique, tout ceci avec le renfort  et l'exemple de qui vous savez : Bling-Bling 2007.

Juste une précision : Ayant plusieurs réunions à Bordeaux (Pour des affaires communales) et devant en conduire une dernière le soir à Biganos, Le Maire, ce jour là exceptionnellement, s'est fait accompagner par une personne des services, chargée de gérer les temps morts : par exemple la  recherche de stationnements afin d'éviter des pertes de temps. (Informations puisées à la source, comme d'habitude).

Autre précision : Cette pratique maintenant dénoncée, était à l'honneur en d'autres temps...avec un véhicule et un employé de la police municipale...d'une manière beaucoup moins exceptionnelle.

Et puis, cerise sur le gâteau : « Certains se voient refuser la banque alimentaire ou tout autre aide et pendant ce temps l'on vous provoque »...Il faut le faire! Mais nous laissons l'élu en charge du CCAS de  répondre à ce qui est plus qu'une désinformation.

 

Celle-ci, nous le savons bien, est est une dure à cuire et son exécuteur, notre Fouquier-Tinville communal, chaussé de ses gros sabots à la manière des sans- culottes, tranche à sa manière, arbitraire et compulsive!

 

Passons à autre chose pendant que l'on y est. Par exemple le cas du «gestionnaire financier »  recruté lors de la dernière mandature, qui était compétent et qui a déserté la Mairie, terrorisé par l'impéritie des nouveaux élus, paraît-il.

En fait cette personne, au domicile lointain, très lointain, a préféré ne plus  s'éloigner de son chez-soi, arguant d'une très bonne raison : un heureux événement proche! Mais n'y a t' il pas non plus le poids de certains souvenirs un peu trop pesants ?

Et pour faire bonne mesure, signalons une deuxième en charge du même poste, partie, elle aussi, dans le Lot et Garonne et pour une raison qu'il serait bien malencontreux de critiquer dans la mesure ou elle précède celle de notre premier personnage...

Ceci afin d'éviter le bouturage de quelques vilains ragots printaniers.

 

D. BAC



29/04/2010
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