Chronique du 17 novembre 2009

Jérôme Burguière contre l'empire des masques.

 Paré de son inénarrable bonne conscience et maniaque du rappel à l'ordre, Jérôme Burguière, fidèle à lui-même, tire sur tout ce qui bouge, en particulier sur ce qu'il ne tolère pas : les bulletins concurrents par exemple ; le discours, émaillé de ses termes favoris : ridicule, affligeant, pitoyable, rappelant les échanges politiques d'un autre temps.

 Bref, Chroniques Boïennes, ne signe pas ses articles, se pare des plumes noires du corbeau qui croasse contre les méchants opposants au Maire, voilà l'insoutenable de ce bulletin !

 Mais le piège s'est refermé sitôt tendu sur l'imprécateur par la disproportion et l'outrance du langage. En nous classant dans la grande tradition pétainiste, Jérôme Burguière non seulement sombre dans son « pitoyable » mais risque fort de le déconsidérer même aux yeux de ses propres amis. De plus, ce manque de contrôle verbal peut atteindre des personnes qui ont eu à souffrir de cette mouvance politique, d'ailleurs sur ce point, s'est-il seulement posé la question ? Manifestement non, mais peut-être aurait-il dû ! Un peu plus de retenue et cela lui aurait évité de pratiquer la diffamation la plus éhontée.

 Pour en finir avec Chroniques Boïennes, et pour calmer les aigreurs, il faut savoir que la personne habitant 27, chemin de lyzé, s'appelle Daniel Bac et qu'il assure, au nom de la liberté d'expression,  la parution des articles tant sur le bulletin que sur le blog, venant de tous les horizons. C'est la conception démocratique de l'Association qui, rappelons-le, se réclame d'être collégiale.

 Pratiquer ce déchaînement de coups bas, loin de nous...A chacun ses méthodes !

Daniel Bac.



18/11/2009
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